27 septembre 2024
par Phil Broq
Lorsqu’un système établi se dévoile comme profondément corrompu, voire à tendance fasciste, la violence inouïe émanant des profiteurs de ce système devient leur seul recours pour l’imposer de force à tous. Le scandale du siècle, en cours de dévoilement avec le Covid, est accompagné de nombreux autres scandales qui émergent, rendant compréhensible le rythme effréné des mesures liberticides émanant de l’UE pour la censure. Chaque nouvelle déclaration semble sortir d’un scénario catastrophe où les meneurs sont souvent les mêmes. Les forces fascistes, déjà à l’œuvre, dévoilent leur vrai visage à travers une violence qui est autant physique que psychologique.
Les moyens de contrôler la population sont multiples : injections, chimie, malbouffe, stress, famine, pauvreté et guerre. Ces actions visent à restreindre le droit des individus à vivre librement. Il ne faut jamais oublier que les lois actuellement en vigueur dans l’UE ne sont souvent que des textes issus de personnes déjà complètement corrompues, qui n’ont plus rien à perdre et deviennent extrêmement dangereuses. Ces lois sont déconnectées des droits naturels de chaque individu et n’ont même plus de lien avec les droits de l’Homme et du Citoyen.
Israël, après avoir mis le feu à Gaza, se tourne maintenant vers le Liban avec une audace qui rappellerait presque les meilleures pratiques américaines au Vietnam : des bombardements massifs touchant tout ce qui bouge, des civils aux militaires. Bien sûr, cette méthode ne fait qu’attiser la résistance, et chaque vie perdue semble plutôt nourrir une nouvelle génération de martyrs. Plus Israël bombarde, plus il crée des vocations, et malgré quelques succès éphémères, il devient évident qu’il s’enlise dans une guerre qu’il ne pourra pas gagner. Le monde arabe, uni comme jamais, ne fait qu’accentuer l’isolement diplomatique de la colonie sanguinaire israélite, creusant le fossé avec ses voisins et même ses anciens alliés.
Sur le plan international, l’image d’Israël s’effrite rapidement : autrefois chouchou des puissances occidentales, il est désormais perçu comme le vilain petit canard du génocide. Les frappes sur les civils provoquent des critiques de plus en plus virulentes, même de la part de ses alliés traditionnels, qui commencent à reconsidérer leur soutien. Les médias, jadis complices, s’aventurent à dénoncer la folie de la stratégie de terre brûlée de Netanyahu, qui semble conduire la région vers une confrontation totale, en dépit des appels au calme. L’escalade du conflit devient une danse macabre.
Quant aux États-Unis, coincés dans leur propre jeu électoral, ils cherchent désespérément à éviter une aggravation qui pourrait détourner l’attention des véritables enjeux nationaux et perturber leurs intérêts économiques. Maintenir le statu quo semble être la meilleure option. Mais Netanyahu, imperturbable, continue d’enflammer la situation, inquiète Washington et les capitales européennes. L’avenir de ce conflit pourrait bien dépendre de la capacité des grandes puissances à gérer cette folie, avant que cette colonie illégitime ne s’isole complètement sur la scène internationale.
Dans ce contexte, le président turc Recep Tayyip Erdogan a prononcé un discours marquant à l’Assemblée générale des Nations unies, déclarant : «TOUT COMME HITLER A ÉTÉ ARRÊTÉ PAR UNE ALLIANCE DE L’HUMANITÉ IL Y A SOIXANTE-DIX ANS, NETANYAHU ET SON RÉSEAU DE MEURTRIERS DOIVENT ÊTRE ARRÊTÉS PAR UNE ALLIANCE DE L’HUMANITÉ.»
Selon Erdogan, les valeurs du système des Nations Unies et du monde occidental sont «en train de mourir à Gaza», appelant à une mobilisation internationale pour mettre un terme aux atrocités israéliennes. Il a critiqué le Conseil de sécurité des Nations Unies, notant que ceux censés travailler pour un cessez-le-feu continuent d’envoyer des armes à Israël pour poursuivre ses massacres.
L’histoire, rappelons-le, montre que des figures comme Hitler ont été financées par des institutions telles que la Réserve Fédérale Américaine et la Banque d’Angleterre, souvent sous l’influence de groupes d’intérêts spécifiques, comme l’est aujourd’hui Israël. Un article soigneusement étudié par le Dr. Youri Rubtsov met en lumière le rôle de Wall Street dans le financement du gouvernement nazi. Cette analyse historique souligne la continuité des dynamiques de pouvoir qui se jouent actuellement.
Au Liban, la solidarité interconfessionnelle se manifeste alors que des musulmans sunnites accueillent des chrétiens libanais fuyant les bombardements israéliens. En parallèle, la communauté internationale s’inquiète de l’escalade des tensions. Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne, avertit que la région est «au bord d’une guerre totale»« , tandis que Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, redoute que le Liban ne devienne un «autre Gaza». L’avocat franco-libanais Elie Hatem déclare : «C’est inimaginable de laisser l’entité sioniste gagner la guerre contre les Palestiniens et de voir un afflux de réfugiés déstabiliser le Liban» Car après le Liban, ce sera au reste du monde de souffrir de leur délire mégalomaniaque et schizophrénique.
Robert F. Kennedy Jr., tout en reconnaissant l’importance d’Israël pour les États-Unis, évoque le risque que la disparition de cet État puisse avoir des conséquences cataclysmiques pour les intérêts américains. Il rappelle également que les dépenses militaires pour Israël bénéficient avant tout au complexe militaro-industriel américain pour son existence, car sans cela, le Moyen-Orient serait en paix depuis longtemps. Son engagement pour une politique étrangère équilibrée et éthique met en lumière la nécessité de ne pas ignorer les droits des peuples opprimés. La disparition d’Israël serait «cataclysmique» pour les États-Unis, s’est alarmé le candidat à présidence. «Israël est vital» pour les États-Unis. «C’est notre tête de pont au Moyen-Orient, un peu comme si nous avions un porte-avions au Moyen-Orient (…), Sans Israël, la Chine et la Russie contrôleraient 90% du pétrole mondial (…). Les dépenses militaires de Washington pour Israël bénéficient à 75% au complexe militaro-industriel US», a encore argumenté Kennedy Junior. «Tous les républicains du Congrès ont une baby-sitter de l’AIPAC»(…) «voici ente autre, comment Israël influence et définit la politique américaine» a détaillé le neveu de John F. Kennedy.–Robert F. Kennedy -. Bien que pro-israélien, JFK espérait modérer l’expansionnisme de l’État juif, et il a quand même été assassiné, selon toute probabilité, par la CIA et le Mossad.
Israël rase gratis avec l’aval des occidentaux, leur argent et surtout leurs armes ! Le délire démystifié depuis longtemps du Grand Israël (projet immobilier visant à s’accaparer des ressources pétrolières) s’accomplit au prix des vies civiles de femmes et d’enfants innocents pour l’arrivée d’un «machia’h» imaginaire, mais pour lequel ils sont prêts à tout, surtout au pire !!! Ils ne croient pas en Dieu, mais ils croient qu’Il leur a donné une Terre. Ils croient les prophètes qui ont annoncé le machia’h, mais pas lorsqu’ils ont annoncé la venue du Christ. Ils n’ont toujours pas compris qu’ils ont tué le Messie il y a 2000 ans et que Dieu les a maudits pour l’éternité, donc leur seule destination est l’enfer. Il faut vraiment les informer…
Profitez du spectacle si vous êtes Israélites, vous aurez bientôt de grandes propriétés privées construites sur les os et le sang de goys (les gentils) !! Et si nous sommes les gentils, c’est bien qu’ils sont les méchants. Exactement comme avec leur colonie sanguinaire qui s’est construite sur celle des vrais sémites. À vous de voir à présent, si il n’est pas venu le temps de quitter cette pseudo religion ou de continuer dans la folie idéologique religieuse et meurtrière qui ne vous mènera clairement pas où vous croyez, mais surement à la damnation éternelle.
Pendant ce temps, le rabbin Rav Ron Chaya, affirmant un sionisme inébranlable et arrogant, évoque un futur apocalyptique pour les européens où «le Machia’h arrive», une vision qui exacerbe encore plus les tensions lorsqu’on sait que leur bible n’est qu’un mensonge destinés à leur donner un rôle dans le livre qu’ils n’ont jamais eu dans la vie ni l’histoire, et surtout un texte volé aux sumériens, ce qui n’en fait pas un texte Divin. En revanche, ce qu’a accomplit le Christ est bien réel !
Mais le vent tourne, car des journalistes d’investigation dénoncent également le financement de réseaux islamophobes par des groupes sionistes américains, alimentant la haine contre les musulmans à travers diverses initiatives. Lorsque ce ne sont pas de fausses vidéos de propagandes fabriquées par le Mossad et qu’ils attribuent aux musulmans. La schizophrénie qui entoure ces individus étant un des grands marqueurs psychologique de nos dirigeants corrompus. Pendant ce temps, le ministère britannique de la Défense déploie des troupes à Chypre pour préparer l’évacuation de ses ressortissants, tout en continuant à fournir des armes à Israël.
Benjamin Netanyahou, Premier ministre israélien, se montre toujours aussi intransigeant avec la vie des autres (son fils se cache aux USA et fait la fête, pas la guerre !), déclarant : «Nous liquidons les terroristes et détruisons les missiles, nos moyens sont illimités.» Ce sont surtout les aides des USA qui le sont, alors gare au retour de bâton… Car des centaines de colons israéliens, accompagnés de l’armée, s’introduisent sans vergogne dans des lieux sacrés, comme la mosquée Ibrahim, célébrant la venue de leur Machia’h. C’est-à-dire l’antéchrist ! Les souffrances des civils, notamment des femmes et des enfants, sont considérées comme des sacrifices destinés à leurs idoles, que sont Baal ou Lucifer et Satan, pour leurs ambitions expansionnistes d’un autre âge.
Face à cette situation complexe, il est crucial de se demander jusqu’où la véritable Humanité sera prête à aller pour défendre ses valeurs et garantir un avenir pacifique face au terrorisme exercés par ces sbires du mal. La nécessité d’un engagement collectif pour restaurer les valeurs humaines et éthiques fondamentales, détruites au quotidien par cette engeance, est plus urgente que jamais. En effet, alors que les tensions mondiales s’intensifient et que des conflits se multiplient, le véritable défi consiste à établir un consensus sur ce que signifie réellement la paix et la justice.
L’histoire récente nous montre que les atrocités ne connaissent pas de frontières, et que l’indifférence face à la souffrance humaine peut conduire à des conséquences désastreuses. Les sociétés doivent s’unir pour dénoncer les abus de ces israélites fous, promouvoir la justice et soutenir ceux qui souffrent au quotidien de cette folie mégalomane. Les valeurs de compassion, d’empathie et de solidarité doivent devenir le fondement d’une réponse mondiale aux crises humanitaires. Dans cette lutte pour la dignité humaine, chaque individu a un rôle à jouer, que ce soit en sensibilisant son entourage, en s’engageant dans des actions concrètes, ou en exigeant des changements auprès de leurs gouvernements.
Israël, qui évoque encore et toujours les souffrances vécues par son peuple pendant la Shoah, dans une ironie tragique, incarne parfaitement ce modèle de violence et d’inhumanité dans un monde qui n’aspire qu’à la paix. Soixante-dix ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les réminiscences de leurs souffrances sont trop souvent utilisées pour justifier leurs actions qui, à bien des égards, reproduisent les mêmes dynamiques d’oppression, sinon pire. Les images des attaques contre des populations civiles, les expulsions de territoires d’autochtones les ayant accueillis et la destruction de vies d’enfants par milliers, semblent en effet alimenter un cycle de violence, où ceux qui ont été victimes deviennent à leur tour les pires des oppresseurs.
Dans cette optique, toutes les actions israéliennes, notamment à Gaza et maintenant au Liban, s’apparentent à des formes d’ultra- violence systémique qui rappellent les épisodes les plus sombres de l’histoire. La brutalité des opérations militaires et le traitement des populations palestiniennes soulèvent des questions éthiques et morales profondes. Comment un État, né des souffrances d’un peuple, peut-il infliger tant de douleur à un autre ? Cela met en lumière le paradoxe tragique de l’histoire : la victimisation à outrance peut parfois engendrer des cycles de violence qui se répètent, et il incombe à chacun de briser cette spirale. En commençant par faire cesser les discours de haine prononcés par tous les pro- assassins israélites qui s’épanchent sur tous les plateaux Tv.
Pourtant, la solution est simple et réside dans un engagement collectif, non seulement pour dénoncer les massacres, les injustices et la corruption systémique qu’ils entretiennent, mais aussi pour proposer des alternatives constructives. L’histoire est un témoin silencieux de ce que l’absence de compassion peut engendrer. Face aux crises actuelles, il est impératif que la communauté internationale se lève, non pas pour diviser, mais pour unir le monde et punir enfin les terroristes israélites comme il se doit. Fort heureusement, les discours de leaders comme Erdogan résonnent comme des appels à l’unité humaine, soulignant que les souffrances de Gaza et des populations opprimées doivent être entendues et prises en compte dans la quête d’une paix durable.
Il est essentiel de promouvoir un dialogue ouvert et honnête sur ces questions, en cherchant à apaiser les souffrances des autres sans minimiser ses propres douleurs historiques. Ce dialogue doit être alimenté par une volonté sincère de réconciliation, où les voix des victimes de toutes les atrocités sont écoutées et où les leçons du passé sont intégrées dans les décisions politiques actuelles.
Finalement, il est urgent de réévaluer les priorités globales en mettant cette colonie sanguinaire au banc des nations et en jugeant les responsables. L’engagement envers les droits de l’homme, la justice sociale et la paix ne doit pas être un choix, mais une obligation morale. Chaque citoyen, chaque État, chaque organisation doit s’interroger sur son rôle dans cette quête d’un avenir pacifique. Face à la montée des suprématistes qui exploitent la peur et la division, l’humanité doit se rassembler pour défendre une vision commune de dignité et de respect pour tous. Et loin d’un délire mégalomaniaque d’un peuple qui se dit «élu» parce qu’il l’a lui même écrit dans un livre, il y a plus de 2000 ans.
La route vers la paix est semée d’embûches, mais elle est essentielle pour éviter la répétition des erreurs du passé. Pour cela, la véritable Humanité doit apprendre à transcender ses divisions, à embrasser la diversité et à reconnaître que la véritable force réside dans l’unité et la solidarité. Seule une telle approche permettra de garantir que les souffrances passées ne soient pas vaines et que les générations futures puissent vivre dans un monde de paix, de respect et d’humanité partagée. Et loin des idéologies dévoyées à l’extrême des terroristes Talmudo-sionistes.
source : Blog de l’Éveillé